Une politique mondiale l'an 2025

J'AI RÊVÉ D'UN NOUVEAU MONDE

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Les dirigeants du monde

Les dirigeants du monde, qu'ils soient présidents, premiers ministres ou rois, sont élus ou désignés selon leur constitution. Tous les pays ont leur propre constitution.
Dans les pays démocratiques, comme l'Europe ou les États-Unis, les dirigeants sont généralement élus par le peuple, soit directement, soit par des représentants élus. Les candidats présentent leurs programmes politiques. La personne qui obtient le plus de voix, ou une majorité absolue, devient le président.
Dans les monarchies, le dirigeant est souvent un roi ou une reine. Par exemple, en Arabie Saoudite, le pouvoir est détenu par un seul individu, généralement un roi, et la succession se fait selon des règles héréditaires. Le dirigeant n’est pas élu, mais désigné par la lignée royale.
Il existe également des monarchies constitutionnelles, comme le Royaume-Uni ou le Japon. Le monarque est un chef d'État symbolique avec peu de pouvoir politique direct. Le gouvernement est dirigé par un Premier ministre élu, tandis que le monarque joue un rôle principalement honorifique et protocolaire.
Passons maintenant aux pays dictatoriaux, comme la Corée du Nord ou la Russie. Le dirigeant est choisi par des moyens non démocratiques. Cela inclut souvent des élections truquées, des coups d'État ou des nominations par d'autres figures de pouvoir. Le dirigeant prend ou conserve le pouvoir par la force, et peut être "élu" de manière non libre (par exemple, par des élections fortement contrôlées où il n’y a pas de véritable compétition politique). Ces régimes concentrent souvent tous les pouvoirs entre les mains d’un individu ou d’un petit groupe.
Dans certains pays, des dirigeants peuvent être choisis par des institutions spécifiques, comme des assemblées ou des conseils d'élites, comme en Chine ou en Iran. En Chine, le président et le Premier ministre sont choisis par l'Assemblée nationale populaire, qui est contrôlée par le Parti communiste chinois. En Iran, le Guide suprême, qui détient un pouvoir majeur, est sélectionné par une assemblée d’experts, et non par un vote populaire direct.

Dans les pays démocratiques, les partis politiques forment des coalitions entre partis pour voter des lois. En général, c’est du donnant-donnant. Tous les systèmes ont leurs avantages et inconvénients.

En 1960, l'ordre des grandes puissances mondiales était dominé par deux superpuissances : les États-Unis et l'Union soviétique (URSS), qui se livraient une guerre froide intense, marquée par une rivalité idéologique et militaire. Les États-Unis étaient la première puissance mondiale, avec un énorme pouvoir militaire, nucléaire et économique. L'URSS, bien qu'en crise économique à certains égards, était leur principal rival, exerçant une influence croissante en Europe de l'Est et dans plusieurs régions du monde.

Les autres grandes puissances de l'époque comprenaient le Royaume-Uni, qui, bien qu'ayant perdu une grande partie de son empire colonial, conservait une influence diplomatique et militaire majeure, et la France, qui jouait un rôle clé en Europe, possédait l'arme nucléaire et conservait un empire colonial, notamment en Afrique. Le Royaume-Uni et la France étaient des piliers de l'OTAN, contribuant à la défense du bloc occidental.

L'Allemagne de l'Ouest (RFA) était une puissance économique montante après sa reconstruction post-Seconde Guerre mondiale, devenant la troisième économie mondiale et un membre essentiel du bloc occidental. Le Japon, bien qu'affaibli par la guerre, faisait une rapide reconstruction et devenait un acteur économique majeur avec l'un des taux de croissance les plus rapides au monde, soutenu par son alliance avec les États-Unis.

La Chine, dirigée par Mao Zedong, était une puissance émergente, encore relativement isolée mais influente dans le mouvement communiste mondial. L'Italie restait une puissance économique significative au sein de l'OTAN, bien que son influence politique soit réduite par rapport à son passé fasciste. L'Inde, avec son rôle dans le mouvement des non-alignés, commençait à se faire remarquer, mais n'était pas encore une grande puissance économique.

Enfin, le Canada, bien qu'un pays plus petit, occupait une place importante en raison de son alliance avec les États-Unis et de sa position stratégique en Amérique du Nord, tout en participant activement à l'OTAN et aux affaires diplomatiques mondiales.

En résumé, en 1960, le monde était divisé entre les blocs occidental et soviétique, avec les États-Unis et l'URSS en tête, suivis par des puissances économiques et politiques comme le Royaume-Uni, la France, et l'Allemagne de l'Ouest. La Chine et l'Inde commençaient à émerger sur la scène mondiale, mais leur ascension n'était pas encore accomplie.

En 2025, la France demeure une grande puissance économique mondiale, toujours membre du G7 et de l'Union européenne. Elle occupe probablement une place entre la 6e et la 7e position mondiale en termes de PIB, en fonction de la croissance économique d’autres pays. La France excelle dans plusieurs secteurs, notamment l'industrie aéronautique (grâce à Airbus) et l'agriculture, où elle figure parmi les leaders mondiaux. Le tourisme représente également une part importante de son économie.

Cependant, des défis majeurs persistent. La France peine à rattraper son retard dans des domaines comme l’industrie automobile et militaire, contrairement à des pays comme la Chine ou l'Inde, qui connaissent une croissance plus dynamique. De plus, la France fait face à des problèmes internes tels que le chômage, la dette publique et la nécessité de réformes économiques. Ces facteurs freinent sa progression dans les classements économiques mondiaux. Par ailleurs, son modèle social, généreux mais coûteux, a conduit à des tensions économiques, surtout depuis les années 1980.

Entre 1960 et 2025, la France et, plus largement, l'Europe ont été confrontées à une évolution industrielle mondiale. Si, à une époque, l'Europe dominait en termes de technologie, aujourd’hui, ce sont les autres puissances industrielles qui dictent les tendances et les innovations. Alors que l’Europe se focalisait sur le social, des pays comme la Chine ont investi massivement dans la modernisation industrielle, renforçant ainsi leur position sur la scène mondiale. Cela a eu pour conséquence de rendre l’Europe dépendante de ces nations, tout en maintenant des conditions de travail difficiles pour de nombreuses populations ailleurs dans le monde.

Enfin, bien que la France ait été un modèle en matière de droits humains avec la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, un principe fondamental issu de la Révolution française, les débats actuels autour des droits et de la dignité humaine, notamment à l’échelle mondiale, sont souvent relégués au second plan par des préoccupations économiques et politiques.


En 2025, les grandes puissances mondiales ont évolué, avec une redistribution des rapports de force géopolitiques. Les États-Unis restent la première puissance mondiale, dominant sur le plan militaire, économique et technologique, bien qu'ils soient désormais confrontés à une concurrence croissante, notamment de la Chine, qui est devenue la deuxième économie mondiale et un acteur majeur sur la scène internationale, particulièrement en Asie et en Afrique à travers des projets comme la Nouvelle Route de la Soie.

L'Union européenne reste une grande puissance économique, mais son influence relative a diminué par rapport à la montée en puissance de la Chine et de l'Inde. L'Inde, avec sa population immense et son économie en forte croissance, se positionne comme un acteur clé, rivalisant avec les grandes puissances mondiales, notamment grâce à sa stratégie de diversification économique et d'expansion militaire.

La Russie, bien que souffrant d’une économie dépendante des ressources naturelles, demeure une puissance militaire redoutée et un acteur géopolitique majeur, notamment en Europe de l'Est et au Moyen-Orient. L'Allemagne et la France continuent d'être des piliers importants de l'UE, avec une influence forte dans les affaires économiques et diplomatiques mondiales, tout en étant confrontées à des défis internes, notamment économiques et sociaux.

Le Japon reste une puissance technologique et industrielle majeure, bien qu’il soit limité par des problèmes démographiques et une dépendance aux alliances stratégiques, notamment avec les États-Unis. Le Royaume-Uni, malgré les défis du Brexit, conserve une place prépondérante sur la scène internationale grâce à son rôle militaire et financier. Enfin, le Brésil se positionne comme la principale puissance de l’Amérique latine, mais il fait face à des problèmes internes de croissance et d’inégalités.

Le monde de 2025 est multipolaire, avec des puissances émergentes qui redéfinissent les équilibres géopolitiques. Les grandes rivalités, notamment entre les États-Unis, la Chine et la Russie, marquent cette période de transition, où l’influence des anciennes superpuissances s’affaiblit face à la montée de nouvelles forces économiques et militaires.


En résumé, la France, bien qu'encore une puissance économique importante, se trouve dans une position complexe face aux défis internes et à une concurrence mondiale de plus en plus forte, tout en étant confrontée à des contradictions entre son modèle social et les réalités économiques globales.


En 1948, l'adoption de la Déclaration universelle des droits de l'homme par les Nations Unies a marqué un tournant majeur dans l’histoire des droits humains, en établissant des normes internationales visant à protéger la dignité et les droits fondamentaux de chaque individu. Cependant, de nos jours, ces droits ne sont pas respectés de manière systématique dans des pays comme la Chine, la Russie ou l'Iran, même si l'Occident a prospéré en se fondant sur ces principes. En ouvrant leurs portes aux nations émergentes, l'Occident a permis à ces pays de prendre de l'ascendant sur le plan économique et géopolitique. Face à l'impérialisme américain qui semble s'essouffler, l’équilibre des forces mondiales pourrait bien basculer, les pays les plus puissants risquant de perdre leur position dominante au profit de nouvelles puissances en ascension.

La France, bien qu'étant toujours une puissance régionale dominante en Europe, n'est plus une superpuissance de première ligne. Elle figure parmi les grandes puissances de deuxième ordre, à l'instar du Japon, de l'Allemagne, du Royaume-Uni et du Brésil. En 2025, son influence géopolitique demeure, mais elle est de plus en plus marginale dans les grandes dynamiques mondiales dominées par des puissances comme les États-Unis, la Chine, la Russie et l'Inde. Si la France conserve une place de choix, c’est grâce à sa position stratégique en Europe, mais l'Union européenne devra repenser ses structures et ses alliances pour ne pas se laisser submerger par ces nouvelles grandes puissances.

L'Ukraine, zone tampon cruciale pour la Russie, illustre l'une des tensions géopolitiques majeures du XXIe siècle. Poutine, voyant l'intégration de l'Ukraine à l'OTAN et à l'UE comme une menace directe pour la Russie, a envahi le pays pour préserver son influence dans la région et défendre ses intérêts géostratégiques, notamment les ressources naturelles et les infrastructures énergétiques vitales pour l'économie russe. Cette invasion sert également à mobiliser la population russe autour du nationalisme et à renforcer le pouvoir de Poutine sur la scène intérieure. En réponse, les États-Unis, cherchant à défendre leurs intérêts stratégiques et politiques, poursuivent leur rôle de "gendarme du monde", même si cette posture commence à montrer ses limites.

Dans ce contexte mondial complexe, la Chine s'affirme comme une grande puissance en devenir. Elle poursuit son objectif de devenir le leader mondial en renforçant son économie, son armée et son influence géopolitique. En investissant dans des projets comme la Nouvelle Route de la Soie et en modernisant son armée, la Chine cherche à se positionner comme un acteur incontournable, notamment dans des domaines clés tels que l'intelligence artificielle et les télécommunications. Sous la houlette de Xi Jinping, le Parti communiste chinois renforce son contrôle sur la société et défie la domination des États-Unis, tout en cherchant à instaurer un nouvel ordre mondial multipolaire dans lequel la Chine jouerait un rôle central.

En résumé, le monde de 2025 est marqué par une redistribution des cartes géopolitiques. L'Occident, malgré ses avancées passées, se trouve face à un renversement de puissance où des nations comme la Chine, la Russie et l'Inde redéfinissent les équilibres mondiaux, tout en mettant à l’épreuve les fondements des droits humains et de la démocratie. La France et l’Europe doivent s’adapter à ce nouveau monde pour conserver leur influence, tandis que les grandes puissances mondiales réorientent leurs stratégies pour affirmer leur domination dans un contexte de tensions croissantes.

Malheureusement je ne peux que constater et mettre en avant que tout ne tien qu’a un fil car...

Aucun pouvoir n’est capable de respecter le monde dans sa globalité. Dès lors que l’homme décide, l’équilibre finit par disparaître au profit d’une poignée d’individus ou d’une poignée de dollars. Depuis la nuit des temps, les guerres existent, et l’histoire est remplie d’exemples où les nations se sont imposées au détriment des autres. Un pays protecteur peut vite devenir un pays qui vous néglige pour pas grand-chose. L'exemple du colonialisme, qui a privé de nombreuses nations de leurs ressources et de leur indépendance, en est un témoignage clair. Finalement, l’abolition de l’esclavagisme n’est pas si abolie que ça dans notre monde. Bien que l’esclavage ait été officiellement aboli au XIXe siècle dans les pays occidentaux, des formes modernes d’exploitation existent encore aujourd’hui, comme la traite des êtres humains et le travail forcé, notamment dans les chaînes de production mondiales.

J’ai toujours pensé que mon pays devait être autonome à tous points de vue. J’ai voté pour l’Europe, pensant qu’il serait plus facile de garder notre indépendance et qu’ensemble nous serions plus forts, mais je me suis trompé. L’Union européenne a certes permis des avancées économiques, mais elle a aussi créé une dépendance croissante envers des puissances extérieures, comme les États-Unis, et des institutions internationales souvent peu transparentes. Nous sommes devenus des moutons pour certains pays et un grenier à blé pour d’autres.

Je dénonce notre politique européenne qui ne nous protège pas et ne garantit pas notre avenir. Souvenez-vous des écoutes téléphoniques du Parlement européen. Le scandale des écoutes menées par les États-Unis sur des responsables européens, révélées par Edward Snowden en 2013, a choqué l’opinion publique. Combien d’affaires nous ont été coupées sous les pieds par l’impérialisme américain et certainement par d’autres puissances ? L’affaire des sous-marins, en 2021, en est un exemple frappant. Lorsque l’Australie a annulé un contrat de 56 milliards d’euros avec la France pour acheter des sous-marins nucléaires américains, cela a mis en lumière une trahison géopolitique dans les relations internationales. Les Américains ont décidé d'imposer leur influence, et la France s’est retrouvée humiliée.

Les sommes d’argent retrouvées chez la vice-présidente du Parlement européen, Eva Kaili, après son arrestation en décembre 2022, ont révélé l’envers du décor de certaines institutions. Ce scandale de corruption a mis en lumière l’influence de pays comme le Qatar et d'autres puissances sur les décisions politiques européennes.

La corruption et les détournements de fonds ne se limitent pas à quelques individus ; ils sont symptomatiques d’un système qui a perdu de sa transparence et de sa crédibilité.

Les hommes politiques français qui se retrouvent devant les tribunaux pour détournement de fonds : des affaires comme celle de Jérôme Cahuzac, ministre du Budget sous François Hollande, ou encore l’affaire des emplois fictifs de la Mairie de Paris impliquant plusieurs figures politiques, illustrent la corruption systémique à l’échelle nationale. Le pire dans toutes ces affaires, c’est qu’une grande partie des citoyens Français continue de voter pour eux, malgré les scandales à répétition. Mais souvenez-vous des affaires : Sarkozy, Mitterrand, Chirac, Juppé et bien d’autres. Ces figures de la politique française sont devenues des symboles d’un système qui protège les puissants, au détriment de l’éthique et de l’intérêt général.

Mais si vous vous imaginez que c’est mieux ailleurs, eh bien vous vous trompez. Regardez la situation aux États-Unis, avec leur nouveau président TRUMP. Pas besoin de vous faire un dessin sur la façons dont il avais orchestre un coup d’état. Mais oui n’ayons pas peur des mots. Je pense que c’est grâce à tous ces chefs d’états et politiciens que nous en sommes là. Les grandes puissances ont toujours joué un rôle de manipulation et de domination, et la France n’a pas échappé à cette réalité. Le système capitaliste global, où l’argent prime sur les valeurs humaines, est responsable de la plupart des injustices auxquelles nous faisons face aujourd’hui.

Les informations que je vous transmets proviennent des médias et des événements historiques. Ce qui suit n’est que le fruit de mon imagination


Il est plus que jamais crucial de repenser notre modèle social, économique, écologique et militaire en réformant notre pays mais aussi depuis peu notre Europe des 27 pour éviter qu'il ne s'effondre de l'intérieur. Nous devons redoubler d’efforts pour préserver nos terres et en assurer la prospérité. Une révision globale de notre fonctionnement est essentielle pour prévenir les dérives et éviter les influences néfastes.

Comme nous ne ferons pas les réformes nécessaires pour éviter l’extinction de notre civilisation, nous allons encore nous entre-déchirer quelques années. Guerre, épidémie… je ne sais pas lequel des deux nous fera chavirer, mais il est certain que ce combat, nous ne le gagnerons pas. La voiture volante, ce n’est pas pour nous.

Depuis, je rêve d’un nouveau monde où l’homme aurait appris de son passé et vivrait à l’abri de son unique logement, la Terre. Malheureusement, ce rêve n’est pas une réalité, et mes rêves, que je vais vous raconter, s’évanouissent après leur lecture.

Prochainement:
Les prémices

Une politique mondiale